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Reviews VADIM REPIN
 

Bachtrack 14/06/2023 : Un Pierrot lunaire sans frontières à la Grange de Meslay
Deux heures plus tard, Vadim Repin et Andrei Korobeinikov entrent en scène pour un programme qui remonte dans le temps ….. les voici à l'aise et bien sonnants dans une Sonate n° 3 de Grieg lyrique, passionnée, romantique qui convoque le souvenir de Fritz Kreisler et de Sergueï Rachmaninov qui l'ont enregistrée à la fin des années 1920. Les deux musiciens nous entrainent dans leur rêve dans le deuxième mouvement et construisent magistralement le finale dont le grand thème nostalgique pourrait être d'Ernest Chausson. Leur interprétation engagée et noble nous conduit naturellement vers une Sonate de César Franck éloquente, ardente, rêveuse, grandiose, emportée, jouée sans réserve expressive, mais – pardon pour l'image – avec un cœur gros comme ça et une tenue musicale magnifiée par des sonorités somptueuses.
Translation - Two hours later, Vadim Repin and Andrei Korobeinikov take to the stage for a programme that takes us back in time: … Sonata No 3 by Grieg that is lyrical, passionate and romantic, evoking memories of Fritz Kreisler and Sergei Rachmaninov who recorded it at the end of the 1920s. The two musicians draw us into their dream in the second movement and masterfully construct the finale, whose great nostalgic theme could be by Ernest Chausson. Their committed, noble interpretation naturally leads us into a Sonata by César  Franck that is eloquent, ardent, dreamy, grandiose, carried away, played without expressive reserve, but -pardon the image - with a heart as great as that and a musical bearing enhanced by sumptuous sonorities. Alain Lompech - Article

Stephanegodet.com 13/09/2022 : Vadim Repin et Andreï Korobeinikov en récital à Nancy
… les trois sublimes sonates pour violon et piano de Claude Debussy (sol mineur), Edvard Grieg (N°3 en ut mineur op. 45) et César Franck (la majeur) … Dès les premiers notes, le Stradivarius de 1733 de Vadim Repin subjugue à la fois par sa profondeur, sa brillance et sa clarté, tout en étant capable aussi de sons âpres sous l'archet du violoniste russe, au sommet de son art. Andreï Korobeinikov au clavier de son rutilant piano de concert Steinway produit également un son riche et puissant, une matière sonore qui s'incarne presque physiquement. A eux deux, Repin et Korobeinikov forment un duo idéal dans ce répertoire … Captivé, le public leur a réservé une écoute impressionnante dans un silence quasi parfait couronnée d'une standing ovation qui a déclenché une série de trois bis tout en virtuosité. Stéphane Godet - Article

Gramophone December 2021 : CD Gubaidulina - Vadim Repin & Leipzig Gewandhaus Orchestra/Andris Nelsons
There is always a spritual dimension to Sofia Gubaidulina’s work, and the violin concerto Dialog: Ich und Du is no exception. … Gubaidulina never loses sight of the overarching structure, the melodic line that holds the dialogues together. Repin is astounding, the Gewandhaus attentive to every nuance….A magnificent achievement. Ivan Moody - Review in full

Wbur.org 8/12/2021 : The Top 10 Classical Albums of 2021 - Violinconcerto Sofia Gubaidulina
Vadim Repin & Leipzig Gewandhaus Orchestra / Andris Nelsons - …This album offers three broad, brass-heavy canvasses for large orchestra, tackling deep topics. Dialog: I and You tips a hat to philosopher Martin Buber while masquerading as a violin concerto, deftly negotiated by Vadim Repin; …Tom Huizenga - Review in full

Resmusica 10/03/2020 : Trios Russes à Strasbourg, entre douleur et lumière avec Vadim Repin
Trio avec piano en la mineur « à la mémoire d’un grand artiste » de Tchaïkovski  - Le défi de la perte d’un être proche est conduit et résolu avec brio. Vadim Repin, en tête d’affiche, tire de son Stradivarius des sonorités amples, subtiles, d’une beauté parfois bouleversante quand Tchaïkovski le veut, ou suraiguës voire grinçantes quand Chostakovitch l’exige. Ses amis et complices, Alexander Kniazev au violoncelle et Andrei Korobeinikov au piano, forment avec lui un trio où le somptueux et le brillant se mêlent, pour un résultat symbiotique. Nous sommes fascinés par leur façon de s’écouter, de se tenir les uns les autres pour porter conjointement le sens du texte musical.
Trio avec piano n° 2 en mi mineur de Chostakovitch - …va encore plus loin. La douleur se manifeste jusque dans le son des cordes, devenant âpre, ou dans la brutalité des accords martelés au piano. Mais de ces tensions émergent des phrases d’une beauté lyrique presque insoutenable.  Matthieu Roc - Article

Crescendo Magazine 16/09 : L’Orchestre National commence bien la saison
Est-il plus belle chose que d’entendre un grand soliste au sommet de son art ? Vadim Repin  - revenant, trente ans plus tard, sur la scène de son triomphe au Concours Reine Elisabeth de 1989- captiva le public dans un Deuxième concerto pour violon de Prokofiev qui était la perfection même. Tant la beauté de sa sonorité, la finesse de son interprétation, son lyrisme rayonnant dans les beautés mélodiques du mouvement lent que son ébouriffante aisance à rendre le côté grinçant et ironique qu’adopte par moments la musique furent un véritable enchantement dans cette oeuvre qu’on réentend toujours avec plaisir. Et quelle belle preuve de collégialité que de voir le grand violoniste jouer en guise de bis le premier mouvement de la Sonate pour deux violons de Prokofiev avec pour partenaire le violon solo de l’orchestre, Alexei Moshkov.   
Translation
Crescendo Magazine 16/09 : The Belgian National Orchestra is off to a good start
Is there anything more beautiful than hearing a great soloist at the top of his artistic powers? Vadim Repin - who returned thirty years after to the scene of his triumph at the Queen Elisabeth Competition in 1989 - captivated the audience in Prokofiev's Second Violin Concerto, which was sheer perfection. Both the beauty of his sound, the finesse of his interpretation, his radiant lyricism in the melodic beauties of the slow movement and his disconcerting ease in making the sardonic and ironic side which the music sometimes adopts were a real delight in this work that we always hear with pleasure. And what a beautiful proof of collegiality to see the great violinist play the first movement of Prokofiev's Sonata for Two Violins with the orchestra's concertmaster, Alexei Moshkov, as his partner. Patrice Lieberman  - Article

Classicalsource 19/04/2017: Royal Philharmonic Orchestra/Charles Dutoit –Vadim Repin plays Prokofiev
…In his Violin Concerto No.2, Prokofiev was aiming at a Soviet-friendly clarity and simplicity, which Dutoit duly encouraged. Set against Repin’s questing, subtly individualistic self-containment, there developed a fascinating game of mood annexation, with Repin asserting a sense of spectral ambivalence in the first movement that leaked into the Romeo and Juliet-style lyricism of the slow movement.- Peter Reed – Full article

Le Devoir 26/10/2016 : Le grand Vadim Repin, enfin!
…Le 1er Concerto de Chostakovitch ne peut se jouer qu’avec fièvre et engagement. Tel fut le cas, ô combien. Le 1er de Chostakovitch de Repin n’est pas flamboyant, mais il est juste. Cette justesse esthétique vient d’un dosage très parcimonieux d’un vibrato serré. Ces larmes qui s’arrêtent toujours au bord des yeux, ce violon qui se plaint dans un champ de ruines, c’est exactement cela, le 1er Concerto de Chostakovitch. …Nous sommes vraiment heureux d’avoir retrouvé un Vadim Repin avec une vraie et sincère réflexion sur une oeuvre, alliée à une impérieuse envie de jouer. - Christophe Huss - Full article

Ncr.nl 25/09/2016: Theatraliteit en adembenemende verstilling bij Liss
Voor Sibelius’ Vioolconcert trad Vadim Repin aan, met wie Liss al vaker werkte. Repin ….bereikte met zijn onnavolgbare techniek en gruizige toon vooral instant-betovering. - Joep Stapel

Luxemburger Wort 19/11/2015: Vadim Repin & Tokyo Metropolitan
L’Andante assai s’ouvre ensuite sur une élégie du violon soliste associé aux poignants pizzicati des cordes graves. Un moment de pur bonheur avant que Vadim Repin ne s’élance à nouveau à l’assaut de la partition parsemée de belles mélodies, d’effets sonores et de diffilcultés techniques que le soliste surmonte avec bravoure.- Thierry Hick

Seenandheard-international.com 12/10/2015: A Stimulating and Satisfying Recital by Vadim Repin and Andrei Korobeinikov
Siberian-born violinist Vadim Repin and his fellow countryman, pianist Andrei Korobeinikov gave a supremely confident performance, which articulated such shared sentiments – musical, expressive and cultural – most powerfully.
The technical brilliance of Repin’s perfectly tuned multiple-stopping, incisive pizzicatos and astonishingly clear harmonics was matched by the clarity of Korobeinikov’s textures and his ability to find just the right colour for each of the movements: …
Bartók’s Rhapsody No.1 -…  Repin was seemingly unruffled by its technical challenges, effortlessly capturing the spirit of the work too, and embracing its gypsy influences and Eastern-European fiddle-playing idioms and techniques….  Repin’s tone was full and grainy in the robust melodies, but the overall feeling was one of lamentation, enhanced at times by the sombreness of the piano’s drone-like accompaniment. Korobeinikov’s playing in these works was a revelation, not least because of the range of timbres which he coaxed from the Wigmore Hall’s Steinway.  His was an equal voice with Repin’s violin, at times extraordinarily agile, at others coolly reflective; and I was constantly drawn to small details and dialogues that I had previously overlooked or undervalued.  
Brahms’s Third Violin Sonata in D Minor was a wonderful conclusion to the recital; both violinist and pianist played with a gleaming legato that swept aside the elusiveness of the Intermezzos and shone with confidence.  …. The violinist’s playing was characterised by elegance throughout.  … The Presto agitato was fast and furious, the two performers engaging in an energised conversation marked equally by vehemence and co-dependence, and delivered with unwavering assurance and virtuosity. - Claire Seymour

The Independent 7/10/2015: Recital tests us as much as them.
Its first half was a bracing lesson in Soviet musical history.
…Their playing of the outer movements of the Schnittke took one’s breath away by its sheer power - Repin’s double-stopped figurations scything through the air - but his long passage in high harmonics was brilliantly managed.
Bartok’s Rhapsody No 1 BB94a, for which Repin became a village fiddler extracting an inexhaustible variety of colours and characters from his instrument, … Brahms’s Violin Sonata No 3 in D minor…, allowing Repin to take us out in a blaze of magnificence. - Michael Church

Examiner.com 8/03/2015: Vadim Repin made his Koerner Hall debut
He's been called the "Russian Paganini" and all it takes is seeing him live once to understand why. Vadim Repin, who made his Koerner Hall debut on March 6, is able to make the insanely difficult look everyday on his violin.
Debussy's "Sonata for Violin and Piano in G Minor"  - …It's also a piece that enabled Repin to show why he's in a sparsely-occupied category of musicians: it's not just his technical ability, of being able to move his fingers from lighting-fast from low on the G string to playing octaves on the E, but of being able to dig deep into the subcontext of a piece and identify its ethos. But there were also plenty of passages that demanded Repin to be sharply technical and precise, such as the repetition of tremolos on double stops and making the highest notes sing with beauty.
During the second half — the part of the program with all Russian composers — Repin seem to come alive even more, ….Their performance of the two Tchaikovsky pieces, "Meditation" and "Valse-Scherzo", embodied everything characteristic of the Russian's compositions: there was a larger-than-life aspect to it with bold brush strokes, and yet a sense that beneath the grandiosity there lay unrevealed secrets.

Nouvelliste 23/02/2015: Quand le violon de Vadim Repin illumine la musique      
Pour ce concert de gala, le virtuose russe était accompagné par l’Orchestre de chambre de Bruxelles, dirigé par Michael Guttman. Ce dernier s’est aussi produit en solo au violon, et en duo avec Vadim Repin lors d’un concerto pour deux violons de Vivaldi. Un moment de grâce durant lequel les deux musiciens ont affiché une très grande complicité, dans une joyeuse humeur. Une fois de plus, Vadim Repin a fait honneur à sa réputation: non seulement comme «magician du son», comme on le surnomme, mais aussi comme humain modeste et respectueux du  public et de tous les musiciens qui l’accompagnent. - Chab Lathion

 

 

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